Quand j’allais à l’ECOLE (Communiqué n° 2)
Voici que, établi dans une base hors des terres niçardes, un quarteron révisionniste d’artistes, critiques, commissaires ou agents d’art en retraite, bien que se disant de ses amis, menace l’ÉCOLE DE NICE de DISSOLUTION.
Après qu’elle a résisté aux attaques de quelques critiques intéressés ou malveillants et de pseudos historiens incapables d’une méthode et d’une rigueur propre à la discipline historique*, elle serait livrée aux flammes et devrait répandre son fumet qui a fini par attirer les loups et autres prédateurs.
Mais :
Soit l’École de Nice n’existe pas et elle ne peut donc pas être dissoute.
Soit l’École de Nice existe depuis plus de cinquante ans et il est impossible de la dissoudre car :
L’HISTOIRE N’EST PAS OBJET DE DISSOLUTION.
En conséquences, je dissoudrai par mon absence sur le lieu de ces théâtrales gesticulations ce quarteron félon et le condamne par cet écrit à hanter à perpétuité les poubelles de l’histoire de l’art.
par Marcel Alocco
NICE, le 10 novembre 2010.
Nota : j’ai compté dans l’avant-dernier (ou antépénultième ?) ouvrage consacré à l’E. d. N. trente-deux erreurs factuelles (sans ajouter les erreurs d’interprétations pour lesquelles je pourrais être accusé de subjectivité).